CAROLINE FILLION
Sans titre
L'artiste Caroline Fillion présente une exposition composée d'une série de tableaux à l'ESPACE PARTAGÉ de la Bibliothèque Hélène-Pedneault de Jonquière.
L'artiste Caroline Fillion présente une exposition composée d'une série de tableaux à l'ESPACE PARTAGÉ de la Bibliothèque Hélène-Pedneault de Jonquière.
LAURÉAT DU CONCOURS ENTREPRENEURIAT ARTISTIQUE 2018-2019
DEUXIÈME ÉDITION DU PROJET D'ARTAGNAN-02
« Le projet D'Artagnan-02 du centre Bang arrive dans un moment marquant de ma carrière. Grâce au soutien des centres culturels de ma région et de la députée Mireille Jean, j’ai l’ambition de travailler sur mon développement professionnel pour consolider une carrière, qui est née à Chicoutimi, et qui rayonne déjà à l'international (Colombie, Italie, Belgique et France). »
-Paolo Almario
Ses œuvres s’abordent comme des ensembles vaporeux, des géographies qui se construisent d’une expérience à l’autre. À travers ces artifices, les espaces concrets s’organisent en espaces conceptuels.
TERRITOIRES BORÉALS présente le travail cinématographique de l’artiste multidisciplinaire Étienne Boulanger et celui du collectif Collection. Cette invitation du centre Bang participe à présenter ces vidéos d’art performatives dans un contexte d’exposition. Questionnant respectivement la notion de territoire, la réunion de ces deux corpus propose un ensemble où la tension poétique marque un temps d’arrêt et d’écoute.
L’exposition PRODUCTIONS RÉCENTES présente deux installations qui évoquent les notions de parcours et d’itinéraires dans l’espace. L’idée du projet ALUVERNIUM s’inspire d’un reportage expliquant un stratagème mis en place par des producteurs d’aluminium chinois. Le projet DÉRIVATION est une simulation et une allégorie. Cette installation est la trace des apprentissages et des expérimentations réalisés avec une fraiseuse numérique à trois axes
Son travail naît d’un désir d’utiliser et de remettre en cause la faculté des images en mouvement de toucher, d’informer et d’influencer le spectateur. Dans les dernières années, sa pratique vidéo a émané de figures de style et de genres répandus sur YouTube et autres plateformes de partage de vidéo en ligne.
L'artiste Julien Boily présente une exposition composée d'une série de sérigraphies à l'ESPACE PARTAGÉ de la Bibliothèque Hélène-Pedneault de Jonquière.
Les sculptures, les installations et les objets créés par Maxence Mathieu évoquent des présences fugitives, creusent des passages, dénombrent des interstices, réels ou imaginaires. En compilant des influences issues de tendances artistiques très différentes, il s’essaye à décrier le théâtre de la conscience, « la sienne » précise-t-il.
À l’intérieur de sa recherche, Fred Laforge envisage l’expérience esthétique comme un espace de réflexion au regard du discours dominant. Dans cette perspective, il s’est longtemps intéressé à la représentation de corps atypiques, c’est-à-dire à certains types de corps faisant l’objet d’un jugement de valeur dépréciatif au sein des sociétés occidentales : principalement les personnes obèses, trisomiques ou les femmes à forte pilosité.
L’exposition La poétique de la [dé]matérialité aborde la transformation des formes. L’utilitarisme détourne ainsi les objets de leurs fonctions premières pour apporter une vision renouvelée, ancrée dans les métaphores de la poésie des matériaux du quotidien. Par conséquent, les propositions des trois artistes nous amènent à concevoir l’objet d’art autrement que dans sa structure habituelle.
Pour l'exposition Paradigme objet, Julien Boily présente un corpus d'œuvres récentes conçues dans le cadre du projet d'Artagnan-02. Trois tableaux de grands formats réalisés dans une approche figurative traditionnelle de la peinture, quelques sérigraphies ainsi que de nouvelles expérimentations sculpturales et vidéographiques se côtoient.
L’exil, la poésie et le quotidien, la reconstruction de l’identité et le cyberactivisme sont des concepts fondamentaux de son travail. Elle rassemble ces concepts pour générer de petites épiphanies. Au fil du temps, elle met l’accent sur l’héritage de sa mère et sur son lien étroit avec les Wayuu.
Coût annuel pour devenir membre - Régulier : 20 $ Étudiant : 15$
Devenir membreLe centre Bang est un organisme à but non lucratif (OBNL). Ses membres supportent la vision et les valeurs de l’organisation et peuvent s’impliquer dans sa vie associative.