JULIEN BOILY
Sans titre
L'artiste Julien Boily présente une exposition composée d'une série de sérigraphies à l'ESPACE PARTAGÉ de la Bibliothèque Hélène-Pedneault de Jonquière.
L'artiste Julien Boily présente une exposition composée d'une série de sérigraphies à l'ESPACE PARTAGÉ de la Bibliothèque Hélène-Pedneault de Jonquière.
Les sculptures, les installations et les objets créés par Maxence Mathieu évoquent des présences fugitives, creusent des passages, dénombrent des interstices, réels ou imaginaires. En compilant des influences issues de tendances artistiques très différentes, il s’essaye à décrier le théâtre de la conscience, « la sienne » précise-t-il.
À l’intérieur de sa recherche, Fred Laforge envisage l’expérience esthétique comme un espace de réflexion au regard du discours dominant. Dans cette perspective, il s’est longtemps intéressé à la représentation de corps atypiques, c’est-à-dire à certains types de corps faisant l’objet d’un jugement de valeur dépréciatif au sein des sociétés occidentales : principalement les personnes obèses, trisomiques ou les femmes à forte pilosité.
L’exposition La poétique de la [dé]matérialité aborde la transformation des formes. L’utilitarisme détourne ainsi les objets de leurs fonctions premières pour apporter une vision renouvelée, ancrée dans les métaphores de la poésie des matériaux du quotidien. Par conséquent, les propositions des trois artistes nous amènent à concevoir l’objet d’art autrement que dans sa structure habituelle.
Pour l'exposition Paradigme objet, Julien Boily présente un corpus d'œuvres récentes conçues dans le cadre du projet d'Artagnan-02. Trois tableaux de grands formats réalisés dans une approche figurative traditionnelle de la peinture, quelques sérigraphies ainsi que de nouvelles expérimentations sculpturales et vidéographiques se côtoient.
L’exil, la poésie et le quotidien, la reconstruction de l’identité et le cyberactivisme sont des concepts fondamentaux de son travail. Elle rassemble ces concepts pour générer de petites épiphanies. Au fil du temps, elle met l’accent sur l’héritage de sa mère et sur son lien étroit avec les Wayuu.
L’artiste Laurent Lévesque examine le paysage comme forme, en tant qu’espace construit et en tant que représentation de notre rapport à la nature. Faisant usage de l’installation, du numérique, de la photographie et de la vidéo, Laurent Lévesque met en place des dispositifs qui engagent le visiteur dans une expérience décalée du paysage.
Le projet Tératologues part des concepts de monstruosité et de magnificence du corps. Précisément, inspirée par trois générations de ma famille porteuse d'anomalies corporelles, je me suis intéressée aux gens présentant des malformations congénitales ou ayant des corps atypiques. Je me suis questionné sur ce que ces difformités pouvaient ajouter ou enlever au corps et j'ai traduit sous forme de sculptures d'improbables créatures hybrides référant à ces notions.
Secret Citadel explore les vicissitudes de l’amitié masculine par l’intermédiaire d’une installation vidéo/sculpturale en quatre parties et d’un film d’animation image par image expérimental. Guidés par de nombreux gestes subtils et des relations intenses, un bison et un cougar anthropomorphes tissent des liens qui traversent toutes les étapes de leur vie. Le jeu les rapproche, tandis qu’une violente maladresse les sépare.
Depuis 2013, Cynthia Fecteau sonde les possibles de l’écriture sur l’art comme champ de création. Ses articles, ses chroniques d’expositions et ses recherches témoignent de sa sensibilité marquée pour les théories écologiques dont l’ambition ne se limite pas qu’à la sauvegarde des environnements naturels. C’est-à-dire, une vision élargie ayant pour perspective de ne jamais tenir séparées les dimensions corporelles et idéelles de notre relation au monde, à l’égard de nos environnements construits, critiques, sociaux et naturels.
Maryse Goudreau et ses voisins ont découvert ce qu’ils croyaient être un char d’assaut de la Seconde Guerre mondiale dans leur boisé agricole commun en Gaspésie. Pour se libérer du fardeau symbolique de ce tank, l’artiste a tenté de créer un échange autour de son exhumation, sur son passé et sur son devenir. Elle a cherché à résoudre l’énigme tout en décidant du sort de l’objet avec la communauté.
Le centre Bang présente l’exposition Dark Resonance de Martin Beauregard. Y figurent des œuvres récentes de l’artiste sous le regard croisé de l’exploration sonore, de la création 3D et de l’installation. Le dispositif d’exposition convie le spectateur dans un monde étrange où se mélange jusqu’à se confondre l’un dans l’autre l’environnement physique et l’intériorité psychologique des protagonistes.
Coût annuel pour devenir membre - Régulier : 20 $ Étudiant : 15$
Devenir membreLe centre Bang est un organisme à but non lucratif (OBNL). Ses membres supportent la vision et les valeurs de l’organisation et peuvent s’impliquer dans sa vie associative.