Description

Pour cette deuxième phonographie, la Chaire de recherche en dramaturgie sonore au théâtre voulait donner plus ouvertement une place à ce corps. Mais quel corps? Ils ont convoqué celui organique et incarné qui joue des technologiques allégées, mais aussi celui capable de se déployer « […] comme un réseau matériel et énergétique mobile et instable de forces pulsionnelles et d’interférences, d’intensités disparates et croisées (Michel Bernard, 2002, « De la corporéité fictionnaire », Revue internationale de philosophie, no 222, p. 523-534)». Pour ce projet, cette force était cherchée à travers une corporéité aux résonances virtuelles. C’est bien ce corps augmenté (parce que) en écoute qui les a motivés à collaborer avec des danseurs et à expérimenter une dimension transmédiatique.